24 septembre 2008
Surimpressions urbaines
L’autre matin, lorsque je suis sorti de l’hôtel, dans l’air frais, un peu brumeux devant une mer calme et grise, un Vésuve légèrement voilé, sur une via Partenope luisante d’asphalte poli par les pneumatiques, et vide, avec des rues qu’on sentait larges...