Ces photogrammes de Mothlight (1963) montre les éléments naturels - ailes d'insecte, feuilles, pétales, brins d'herbe, poussière, saletés - incorporés par Stan Brakhage entre deux rubans de pellicule pour redonner vie aux papillons de nuit, brûlés vifs, trouvés sous les lampes de sa maison. via Mes petites miscellanées
Tonya van Gieson rassemble des trésors peints, dessinés ou photographiés de tous genres et de toutes époques dans son fabuleux site :
A touch of vaudevilleavec une affection particulière pour les êtres ailés, comme vous le découvrirez ici
Ou comment la légèreté allusive des illustrations d'André Pécoud
ajoute au régal du sadisme appuyé de la comtesse de Ségur
- - o O o - -
« Je vais lui couper la tête, se dit-elle, pour la punir de toutes les piqûres qu'elle a faites. »
En effet, Sophie posa l'abeille par terre en la tenant toujours à travers le mouchoir, et d'un coup de couteau elle lui coupa la tête; puis, comme elle trouva que c'était très amusant, elle continua de la couper en morceaux.
Elle était si occupée... [Lire la suite]
Les motifs verts iridescents de ce sac anglais du XIXe siècle ne sont autres que des incrustations d'ailes de scarabée, une technique d'origine indienne qui se répandit en Europe vers les années 1840-1850. Des métrages entiers de mousseline de Madras aux reflets d'émeraude étaient alors importés pour en faire des robes, des châles et divers accessoires.
Mais ce fut davantage une tocade qu'une tendance profonde. En revanche, vers les années 1860, apparut une véritable fièvre ornithologique et entomologique dans la... [Lire la suite]