
"La Maison qui brûle" et "La Demande en mariage", Petitpierre et Cie, vers 1785 et 1795
Les toiles de Jouy ont cette folie particulière d'introduire la narration dans les motifs tout en les répétant, comme si la même scène était forcée de se rejouer dans une mécanique infernale, condamnant les personnages à revenir chaque fois au point de départ. On sait quel parti en a tiré Harold Ramis dans son brillant Groundhog Day. En ce moment, au Théâtre de l'Odéon, La Ronde du Carré de Dimitris Dimitriadis...
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