3 décembre 2011
Un écrin de sauvagerie
Moine copiste, je me délecte de l'admirable style de Georges Duby, et d'abord de sa façon de ponctuer qui donne à ses phrases le souffle de la parole (mon cher Jacques Bonnaffé ne s'y est pas trompé) Sur la forêt, la beauté née du chaos, la clairière...