
Dans le bel article de Chloé Aeberhardt pour Libération , "Islande, le givre et les lettres", sur l'amour des Islandais pour la littérature et la poésie :
"La proximité à l’écrit est d’autant plus naturelle que, autre bizarrerie miraculeuse, la langue islandaise n’a presque pas évolué depuis le IXe siècle : ainsi un chauffeur de taxi de Reykjavik peut-il sans trop d’efforts lire les sagas en VO, quand nous...
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