
En 1940, Jozef Czapski est interné au camp soviétique de Griazowietz avec quelques dizaines d'autres officiers de l'armée polonaise ayant échappé au massacre de Katyn. Plusieurs d'entre eux décident de faire partager aux autres "ce dont ils se souvenaient le mieux". Fin lettré, francophile, il consacre plusieurs conférences à la peinture et à la littératures françaises, dont une série à Proust et à La Recherche par la seule force de sa mémoire, sans disposer d'un quelconque...
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