
De maisons abandonnées en forêts féériques, de zoologies imaginaires en voyages orientaux, les aquarelles de Stefano Faravelli sont d'une telle délicatesse qu'on pourrait passer des heures à les scruter en se persuadant d'être passé de l'autre côté du miroir.
Pour feuilleter son sublime carnet d'Istanbul, rendez-vous ici pour un détour.
En France, seul est traduit son Carnet secret du Mali (Gallimard, 2005)