
A Beyrouth, dans le beau quartier de Gemmayzeh, un immeuble vieillot abîmé par la guerre. Au deuxième étage, une porte en trompe l'oeil : derrière se cache la Maison Rabih Kayrouz fondée en 2004. Si nous placions notre oeil devant la serrure, nous verrions la "chambre d'une femme des années cinquante qui se prépare pour une fête". Une robe à falbalas sur le lit, un bristol d'invitation sur la
coiffeuse ; un nuage de poudre,...
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